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Les achats jouent un rôle majeur dans le fonctionnement global d’une entreprise. Mettre en place une politique d’achats responsables est aujourd’hui au cœur des préoccupations des gérants de sociétés de divers secteurs, notamment dans le cadre de l’application de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Achats responsables : la définition Pour fonctionner, une entreprise procède quasi quotidiennement à des achats. Matières premières, packaging, prestations, outils, matériel informatique, matériel de bureau, produits d’entretien : tous ces achats participent de façon directe ou indirecte au déroulement de la chaîne de production. Sont qualifiés d’achats responsables les achats qui prennent en compte une dimension éthique, principalement en termes de politique sociale et environnementale. Ces achats intègrent non seulement les critères fondamentaux du prix, de la qualité et des délais, mais s’inscrivent aussi dans une démarche d’éco-responsabilité et de justice sociétale. Cela concerne les matériaux mais également les pratiques des fournisseurs. Une entreprise pratiquant l’achat responsable préférera par exemple acheter un lot d’ordinateurs reconditionnés de qualité plutôt que du matériel neuf. Elle choisira aussi de fournir à ses collaborateurs une fontaine à eau rechargeable et des récipients réutilisables plutôt que des bouteilles d’eau individuelles en plastique. Elle optera pour des produits et matériaux produits localement et/ou issus du commerce équitable. En résumé, un achat responsable répond positivement à ces trois critères essentiels : la préservation de l’environnement : la réduction des déchets, les produits avec une longue durée de vie, les matériaux écologiques, les économies d’énergie… le progrès social: les conditions de travail, la juste rémunération, l’insertion, la diversité, l’équité… le développement économique : le rapport qualité/prix, les délais de livraison… En procédant à des achats responsables, l’entreprise veille au respect de ses exigences, de celles de ces clients et collaborateurs mais prend aussi en compte la notion de développement durable. Un intérêt croissant pour les achats responsables De plus en plus d’entreprises font le choix de l’achat responsable dans le cadre de leur politique d’approvisionnement régulier. Cette politique s’inscrit directement dans les pratiques de la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises). Elle est définie par l’Union Européenne comme « l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes ». Motivées par les préoccupations grandissantes de leurs clients concernant le développement durable et par les nouvelles réglementations, les entreprises sont aujourd’hui nombreuses à se tourner vers l’achat responsable. On estime que plus de 50 % des entreprises et organisations considèrent la politique d’achats responsables comme une priorité. Selon une enquête de 2019, 81 % des entreprises interrogées affirmaient avoir récemment renforcé leur engagement en termes d’achats responsables. La fonction achat constitue un vecteur de croissance économique, mais aussi éthique pour l’entreprise. La mise en place des achats responsables passe par différentes étapes. Il est nécessaire de commencer par un état des lieux des pratiques en cours pour définir des axes d’amélioration menant à un nouveau plan d’action qui intègre les coûts globaux ainsi que l’impact environnemental et sociétal des produits.

Les réseaux sociaux ont gagné une place de choix dans le quotidien de beaucoup d’utilisateurs, professionnels et particuliers à la fois. En ce qui concerne Instagram, il a conquis un milliard de la population mondiale. Face à cette révolution, impossible pour les entreprises de passer à côté des réseaux sociaux. Qu’en est-il de la réalité ? Comprendre l’engouement pour les réseaux sociaux En 2018, 3,3 milliards sur les 7,6 milliards d’habitants de la terre sont actifs sur les réseaux sociaux. Ce chiffre représente 43% de la population mondiale. Autant dire que la présence sur ces réseaux devient un véritable phénomène. Cette croissance correspond à une augmentation du nombre des internautes qui est passé à 4,1 milliards. En France, un sociaunaute passe en moyenne 80 minutes sur les réseaux sociaux. Parallèlement à cela, le nombre de ces réseaux dédiés aux liens sociaux ne cesse de croître. Ils sont aujourd’hui plus d’une centaine à essayer de conquérir le cœur des internautes. Certains se spécialisent dans les vidéos comme le cas de Dailymotion ou Youtube. D’autres ont décidé d’exploiter le milieu professionnel comme Linkedln et Viadeo. Les réseaux sociaux spécialisés dans l’image connaissent aussi leur heure de gloire. C’est particulièrement le cas de Pinterest et d’Instagram. Pour ce dernier, les entreprises peuvent compter sur une agence Instagram pour y asseoir leur notoriété. Ces réseaux qui créent et nouent la relation sociale sont actuellement très populaires. C’est pourquoi il est impossible pour l’entreprise de minimiser leur pouvoir. Savoir exploiter ces supports de communication permet d’acquérir de nouveaux clients. Zoom sur les réseaux sociaux les plus populaires Les chiffres publiés pour 2018 démontrent la puissance indiscutable de Facebook. Ce réseau social créé en 2014 reste le plus utilisé au monde. Il compte 1,5 milliards d’utilisateurs actifs au quotidien dont 22 millions en France. Le nombre d’utilisateurs mensuels de ce réseau s’élève à 2,2 milliards dont 33 millions pour l’Hexagone. Ces chiffres permettent de comprendre la domination de Facebook dans l’univers des médias sociaux. Twitter occupe la seconde place même s’il tend à se déplumer maintenant. Autre paradoxe, ce réseau créé en 2006 n’est devenu rentable qu’en 2017. Cela ne l’empêche pas de gagner en popularité car il compte maintenant 326 millions d’utilisateurs actifs. Chaque seconde, 5 787 tweets sont publiés, soit l’équivalent de 1,5 millions de tweets par jour. Ce chiffre publié en 2014 reste en berne jusqu’à 2018. Instagram s’est aussi offert une place de choix parmi les réseaux sociaux les plus connus. Il rassemble actuellement un milliard de membres. Les entreprises qui veulent conquérir du monde sur ce réseau n’hésitent pas se tourner vers une agence Instagram. Il faut d’ailleurs savoir qu’Instagram règne en maître dans l’univers des réseaux dédiés au partage de photos. Zoom sur le cas particulier d’Instagram Le réseau social Instagram a été créé en 2010. Environ 4 ans plus tard, il a été racheté par Facebook. Tout au long de son parcours, ce réseau ne cesse d’évoluer. Cela explique la croissance phénoménale de ses nombres d’utilisateurs. A l’heure actuelle,

La gestion de projet de manière itérative ne date pas d’hier. En effet, la première approche a vu le jour en 1986. Cependant, c’est en 2001 que les différentes méthodes agiles ont été capitalisées au sein du Manifeste Agile. On y retrouve les méthodologies comme le Scrum ou encore de la technique du développement rapide d’applications ou RAD ainsi que le dynamic systems developpement method ou encore l’externe programming et bien d’autres encore. Aujourd’hui en France et notamment chez les entreprises parisiennes, de plus en plus d’enseignes utilisent cette approche. Il s’agit de la méthodologie scrum, qui est passée de 35 à 80 % d’utilisation. Pourquoi les entreprises parisiennes optent-elles pour le management agile ? Le management agile est vu comme un véritable changement dans la gestion des projets. Les managers de projet sont passés par un processus traditionnel où ils étaient les seuls à avoir un aperçu sur la progression du développement du produit, à une véritable interaction entre les membres de l’équipe. Ainsi, dans le management agile, le principe est de mettre en avant la participation des individus et le partage d’informations au quotidien au lieu de la mise en avant des procédures ou la priorisation des outils. Le but est d’avoir des feedbacks pour une meilleure planification des priorités et ainsi, de développer des logiciels de qualité et fonctionnels dès la livraison du produit. Cela permet également d’optimiser le contact avec le client final et d’avoir une collaboration continue pendant toute la phase de production du produit, sans avoir à négocier le contrat en cas de soucis. Une participation active du client est ainsi demandée pendant la mise en application de la méthode agile. Les principes permettant d’optimiser l’application de l’approche agile en entreprise L’agilité en PME suit quelques principes que le manager de projet et son équipe ne doivent pas oublier. Dans le développement du produit, l’objectif premier de l’entreprise doit être la satisfaction du client. Avec la méthode agile, cela devient une priorité et permet de livrer plus rapidement des logiciels de qualité avec les fonctionnalités demandées. Pour assurer la satisfaction de la clientèle et éviter les négociations au niveau du contrat, il est important d’accueillir les changements demandés de manière positive. Pour cela, c’est essentiel que le product owner ou le représentant du client fasse partie intégrante du processus de développement et que ces derniers travaillent dans un environnement favorable qui permet de travailler de manière indépendante tout en sachant qu’il y a un superviseur sur qui compter en cas de problème. Avec la méthode agile, l’équipe doit savoir prioriser. Il n’est plus question de perdre du temps avec des essais non concluants. Chaque réunion en sprint fera l’objet d’une analyse des priorités et d’une amélioration des partages.

Les employeurs seront mis à contribution pour combler le déficit du Pass Navigo à tarif unique, mise en place par la précédente majorité régionale en 2015.

Comment aider les très petites entreprises exerçant dans les « éco-activités » à accéder à la commande publique ? C’est le défi que tente de relever le département du Val-de-Marne à l’aide d’un guide construit non seulement pour les TPE-PME, mais aussi pour les collectivités.

Le versement transport payé par les entreprises sera relevé mais des exonérations fiscales seront réintroduites sur les opérations de rénovation de bureaux.

L’an dernier, 133 500 entreprises ont été immatriculées en Ile de France, dont plus de la moitié relèvent du statut d’auto-entrepreneur. Un chiffre stable par rapport à l’année précédente.

Selon une étude de l’Acoss relayée par Le Figaro, 8% des salariés du secteur de la construction travaillaient au noir en 2013. la région Ile-de-France est la plus touchée.

Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, un important nombre de mètres carrés est vacant à Paris intra-muros et dans la première couronne. Il faut également indiquer que le prix des loyers est en baisse depuis plusieurs mois, ce qui devrait inciter les entreprises parisiennes et franciliennes à venir s’installer (voire se réinstaller pour certaines) à Paris ou dans sa proche banlieue.

En cas d’élection, la candidate PS s’engage à maintenir le taux de fiscalité pesant sur les entreprises parisiennes.