Paris reste, sans conteste, la ville française préférée des touristes. En 2012, le taux d’occupation des hôtels parisiens a atteint 79,6 %, soit une hausse de +0,1 point par rapport à l’année précédente. 15,7 millions d’arrivées ont été comptabilisées dans les hôtels de la capitale (+0,2%).

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A partir de samedi, les restrictions de déplacement sont durcies dans la capitale. Un nouveau tour de vis, un peu moins serré toutefois qu’il y a un an. Après des semaines d’atermoiements, Paris (avec l’ensemble des départements d’Ile-de-France), rebascule dans un confinement général. Cette mesure, décrétée jeudi soir par le chef de l’exécutif Jean Castex, laisse un goût amer à la population bousculée dans ses habitudes par la crise depuis un an. La pilule est plus difficile encore à avaler pour les commerçants, dont la plupart va devoir se soumettre à de nouvelles obligations de fermetures administratives, comme au printemps et l’automne 2020. Qui ? Comment et surtout pour combien de temps ? Les activités de plein air autorisées La question prend une dimension particulière en Ile-de-France, une région qui concentre un cinquième des français (12 millions). Dans les jours qui ont précédé cette prise de décision, largement arbitrée par l’Elysée, l’objectif recherché par les décideurs nationaux, en lien avec les élus des communes concernées, fut de définir une formule équilibrée mixant une dose de fermeté avec certaines souplesses. Un principe a servi de fil rouge : contrebalancer la dureté d’un confinement permanent (et non simplement le week-end, comme à Nice et Dunkerque) par un maintien des activités de plein air, réputées moins propices à la circulation du virus que les regroupements en espaces clos. Voilà le cadre réglementaire auquel les parisiens vont devoir s’astreindre à partir de ce samedi, et pour une période de quatre semaines au moins :Les attestations de déplacements sont de retour. Mais elles s’appliqueront surtout sur les véhicules qui circuleront de régions à régions. Dans les faits, ces trajets sont interdits, « sauf motifs impérieux et professionnels » a souligné Matignon. Localement, rien n’empêche la population de partir en promenade ou de pratiquer une activité physique, sans limitation de durée. Cette tolérance n’est toutefois valable que dans un rayon de dix kilomètres autour du domicile. Gros changement par rapport premier confinement : écoles, collèges et lycées vont rester ouverts. La continuité du service scolaire est donc assurée, sans autres réserves que celle d’appliquer strictement les consignes sanitaires de rigueur depuis plusieurs mois : les lycées de la Région qui, jusqu’ici, fonctionnaient en demi-jauge, basculeront dans un système à 100%. Concernant l’activité économique de proximité, le gouvernement opère un glissement sémantique qui le conduit à abandonner la notion de « commerce essentiel », source de polémique à l’automne dernier, au profit de produits de « première nécessité ». Seules les enseignes incluses dans cette catégories (distributeurs alimentaires, pharmacie, buralistes) sont autorisées à accueillir du public. Les librairies et les disquaires sont concernés par ces ouvertures. Enfin, les entreprises sont invitées à renforcer le télétravail pour leurs salariés.

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Le porte-parole du gouvernement a confirmé que des « mesures supplémentaires » vont être prises pour enrayer l’aggravation de l’épidémie en Ile-de-France et dans les Hauts-de-France. Un nouveau dispositif va être mis en place dès le week-end prochain. Reste à savoir quelle en sera la formule. Confinement partiel ou permanent ? Voilà l’équation qui se pose depuis plusieurs jours au plus haut sommet de l’Etat, à l’heure où de nouvelles restrictions se profilent en Ile-de-France afin d’y enrayer la propagation de la Covid-19 et de ses variants les plus dangereux.Mardi, à l’issue du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a confirmé que des « mesures supplémentaires » allaient être prises dans ce territoire, mais aussi dans les Hauts de France où tout un département (le Pas-de-Calais) est déjà reconfiné chaque week-end, une solution que l’exécutif s’était jusqu’alors refusé d’appliquer dans la capitale. Les services de réanimation saturés Ce jeudi, le premier ministre Jean Castex va dévoiler la nature des restrictions qui vont être mises en œuvre à Paris et dans les sept autres départements d’Ile-de-France. Se dirige-t-on vers un couvre-feu avancé à 17 heures, combiné à un confinement fixé le week-end ? Cette mesure d’exception va-t-elle être généralisée en semaine, au risque d’aggraver la situation économique des entreprises ? Depuis mercredi, des concertations seront menées par Matignon avec les élus locaux concernés afin de trouver le bon dosage et la formule la mieux adaptée à l’évolution épidémiologique des territoires « sous contrôle renforcé », mais aussi à leurs spécificités économiques et démographiques, les deux étant liés (la région Ile-de-France regroupe à elle seule plus de 12 millions d’habitants). Jeudi, soir le quotidien Les Echos annonçait, à partir de tendances recueillies auprès de sources officielles, qu’ un confinement de week-end était, à ce stade, le scénario privilégié par les pouvoirs publics en Ile-de-France. Le taux d’incidence du virus continue en effet à y grimper : de 391 cas positifs pour 100 000 habitants vendredi dernier, l’indice a grimpé à 400 en début de semaine, bien supérieur au seuil d’alerte de 250. A l’échelle des départements, la Seine-Saint-Denis (499,3) et le Val d’Oise (496) présentent les signaux les plus inquiétants. Le nombre d’hospitalisations reste toutefois la variable la plus scrutée par l’Etat qui indexes ses mesures sur les admissions en services de réanimation et leur capacité d’accueil : mardi, le nombre de patients recensés s’y élevait à 1 164 patients, un chiffre plus élevé qu’au 12 novembre dernier (1134). le taux d’occupation des lits dépasse les 100%.

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Bien qu’encore peu répandue, une prise de conscience écologique semble avoir lieu dans le domaine du funéraire. Si la crémation et l’inhumation restent les pratiques les plus courantes lorsqu’un décès survient, de nouveaux modèles commencent à émerger partout dans le monde. Ces alternatives écologiques pourraient venir au fil des années remplacer l’inhumation et la crémation, jugées trop polluantes pour la planète. Zoom sur les nouvelles tendances écolos du marché funéraire ! L’inhumation et la crémation  En France, deux pratiques se distinguent particulièrement lorsqu’un décès survient : L’inhumation : il s’agit d’une pratique traditionnelle qui consiste à inhumer ou mettre en terre le défunt dans un cimetière. Elle doit être réalisée dans un délai maximum de 6 jours après le décès du défunt, sauf exceptions. Cependant, l’inhumation est source de pollution. En effet, afin de conserver le corps avant l’enterrement, des litres de produits lui sont injectés. Au moment de la décomposition, ceux-ci s’infiltrent dans le sol et polluent. La crémation : il s’agit d’une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps d’une personne décédée dans un crématorium. Elle est réalisée, comme pour l’inhumation, 6 jours au plus après le décès du défunt. Bien que moins polluante que l’inhumation, cette pratique n’est pas très écologique. En effet, ce processus qui dure 1h30 nécessite 42m3 de gaz naturel, provoquant d’importants rejets de CO2. Malgré le fait que ces pratiques dominent le marché, la tendance tend vers des funérailles de plus en plus écologiques. De nombreux nouveaux modèles émergent partout dans le monde afin de réduire l’impact environnemental lié aux funérailles. Les cercueils en carton Chaque année, près de 11 millions d’arbres sains sont coupés (soient 30 000 km² de forêt) pour produire des cercueils en bois. Certains acteurs cherchent des solutions pour réduire l’impact environnemental du cercueil. C’est notamment le cas de la Coopérative de pompes funèbres nantaise, qui propose de nombreuses innovations à ses clients. Afin de réduire l’impact environnemental d’un enterrement, cette Coopérative commercialise des cercueils en carton. Ces derniers sont composés de fibres de papier vierge et de fibres recyclées et sont vendues avec ou sans impression. En plus d’être écologiques pour la planète, ils sont également moins chers. En effet, les cercueils en cartons coûtent en général entre 300 et 1 100 €, là ou un cercueil en bois peut coûter jusqu’à 3 000 €. L’humusation  L’humusation consiste à transformer le corps des défunts dans un compost composé de broyats de bois d’élagage, grâce à l’action des micro-organismes. Ce procédé uniquement autorisé à Washington se déroule en 4 étapes : Le défunt est amené dans un cercueil réutilisable enveloppé par un linceul biodégradable, sans avoir subi de soins de conservation. Le corps est ensuite placé sur des copeaux de bois et d’argile, gorgés d’eau de pluie. Au bout de 3 mois, les os commencent à disparaître et se détachent les uns des autres, notamment grâce à l’effet de la chaleur comprise entre 60 et 70 °. Enfin, après 1 an, le corps est entièrement décomposé et transformé en 1,5

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C’est l’avis de la Chambre régionale des Comptes d’Ile-de-France qui pointe une hausse des tarifs de +47% en 2017. La Dame de Fer est-elle devenue une destination de luxe pour les ménages modestes ? Dans un rapport publié lundi, la Chambre Régionale des Comptes d’Ile-de-France décrypte la gestion du célèbre des monument de Paris, l’un des plus visités derrière la cathédrale Notre-Dame (avant l’incendie de 2019) et la basilique du Sacré Cœur à Montmartre. Le site, géré par une société publique locale, la SETE (Société d’exploitation de la Tour Eiffel) détenue à 99% par la Mairie, avait connu un pic de fréquentation en 2014 à un peu plus de 7 millions de visiteurs. Au cours des trois années suivantes, le nombre d’entrées a régulièrement baissé pour atteindre 6,1 millions en 2017, année où les prix ont d’ailleurs été augmentés, en fin d’exercice, de + 47% dans le cadre d’un accord de délégation de service public. Il en coûte désormais 25,90 euros pour grimper au troisième étage de l’édifice (contre 17 euros auparavant). Ce gros tour de vis sur les billets les plus vendus (adulte, plein tarif) avait été compensé par des réductions pour les « jeunes 12/24 ans » ( de 14,50 € TTC à 12,50 € TTC) et le public des « 4/11 ans et handicapés » de 8,00 € TTC à 6,30 € TTC, signale toutefois la CRC. Le renchérissement des tarifs, qui s’est traduit par une hausse mécanique du chiffre d’affaires, devait contribuer à financer un plan d’investissement de 300 millions qui prévoyait notamment la construction d’un centre d’accueil en zone souterraine avec un objectif de visites supplémentaires de + 3 millions. Le projet a toutefois été reporté au profit d’un programme, initié dans l’urgence à la suite des attentats de Paris et Nice en 2015 et 2016, visant à doter la Tour Eiffel d’un « niveau de protection et de sécurité renforcée », rappelle la Cour des Comptes. Elle pointe donc une revalorisation « des tarifs intervenue fin 2017, sans contrepartie pour les visiteurs ». Et, selon la CRC, la fréquentation du monument s’en ressent : à preuve, une enquête de satisfaction réalisée en 2018 et relayée dans son rapport, indique que plus du tiers des touristes (37%) venus sur place « jugent le prix trop élevé au regard de la qualité de la visite » ; et 29 % du public interrogé renoncent à aller jusqu’au sommet de la Tour « en raison du coût ».

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Les réseaux sociaux ont gagné une place de choix dans le quotidien de beaucoup d’utilisateurs, professionnels et particuliers à la fois. En ce qui concerne Instagram, il a conquis un milliard de la population mondiale. Face à cette révolution, impossible pour les entreprises de passer à côté des réseaux sociaux. Qu’en est-il de la réalité ? Comprendre l’engouement pour les réseaux sociaux En 2018, 3,3 milliards sur les 7,6 milliards d’habitants de la terre sont actifs sur les réseaux sociaux. Ce chiffre représente 43% de la population mondiale. Autant dire que la présence sur ces réseaux devient un véritable phénomène. Cette croissance correspond à une augmentation du nombre des internautes qui est passé à 4,1 milliards. En France, un sociaunaute passe en moyenne 80 minutes sur les réseaux sociaux. Parallèlement à cela, le nombre de ces réseaux dédiés aux liens sociaux ne cesse de croître. Ils sont aujourd’hui plus d’une centaine à essayer de conquérir le cœur des internautes. Certains se spécialisent dans les vidéos comme le cas de Dailymotion ou Youtube. D’autres ont décidé d’exploiter le milieu professionnel comme Linkedln et Viadeo. Les réseaux sociaux spécialisés dans l’image connaissent aussi leur heure de gloire. C’est particulièrement le cas de Pinterest et d’Instagram. Pour ce dernier, les entreprises peuvent compter sur une agence Instagram pour y asseoir leur notoriété. Ces réseaux qui créent et nouent la relation sociale sont actuellement très populaires. C’est pourquoi il est impossible pour l’entreprise de minimiser leur pouvoir. Savoir exploiter ces supports de communication permet d’acquérir de nouveaux clients. Zoom sur les réseaux sociaux les plus populaires Les chiffres publiés pour 2018 démontrent la puissance indiscutable de Facebook. Ce réseau social créé en 2014 reste le plus utilisé au monde. Il compte 1,5 milliards d’utilisateurs actifs au quotidien dont 22 millions en France. Le nombre d’utilisateurs mensuels de ce réseau s’élève à 2,2 milliards dont 33 millions pour l’Hexagone. Ces chiffres permettent de comprendre la domination de Facebook dans l’univers des médias sociaux. Twitter occupe la seconde place même s’il tend à se déplumer maintenant. Autre paradoxe, ce réseau créé en 2006 n’est devenu rentable qu’en 2017. Cela ne l’empêche pas de gagner en popularité car il compte maintenant 326 millions d’utilisateurs actifs. Chaque seconde, 5 787 tweets sont publiés, soit l’équivalent de 1,5 millions de tweets par jour. Ce chiffre publié en 2014 reste en berne jusqu’à 2018. Instagram s’est aussi offert une place de choix parmi les réseaux sociaux les plus connus. Il rassemble actuellement un milliard de membres. Les entreprises qui veulent conquérir du monde sur ce réseau n’hésitent pas se tourner vers une agence Instagram. Il faut d’ailleurs savoir qu’Instagram règne en maître dans l’univers des réseaux dédiés au partage de photos. Zoom sur le cas particulier d’Instagram Le réseau social Instagram a été créé en 2010. Environ 4 ans plus tard, il a été racheté par Facebook. Tout au long de son parcours, ce réseau ne cesse d’évoluer. Cela explique la croissance phénoménale de ses nombres d’utilisateurs. A l’heure actuelle,

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Un plan de restructuration engagé par la maison-mère de l’enseigne d’ameublement va donner lieu à 1 900 suppressions de postes et une trentaine de fermetures de sites. La région parisienne est durement touchée. Après Castorama en début d’année, un autre acteur phare de la distribution française va très sévèrement réduire son maillage territorial : il s’agit de Conforama, enseigne d’origine française, spécialisée dans la vente au détail de mobiliers et produits de décoration intérieure. Le réseau, qui compte un peu plus de 200 magasins, avait été racheté en 2011 par le groupe sud-africain Steinhoff, un gros conglomérat international positionné sur les activités de fabrication et de vente dans le secteur de l’ameublement. Or ce puissant actionnaire navigue depuis deux ans en zone de turbulences après que des suspicions d’irrégularités comptables visant l’ex-PDG Markus Jooste, ont fait chuter le titre de la holding en bourse. En France, les motifs invoqués pour justifier le lourd « plan de transformation » engagée au sein de sa filiale Conforama reste pourtant d’ordre économique : un communiqué diffusé par l’enseigne fait état « d’une perte cumulée de 500 millions d’euros depuis 2013 » et impute l’ensemble de ces difficultés structurelles aux « mutations profondes du secteur de la distribution et plus particulièrement celui de la distribution spécialisée » dans un contexte où, de surcroît, la concurrence du commerce en ligne a réduit les marges de manœuvre des magasins physiques et introduit une concurrence « exacerbée » sur le marché. « Les problèmes financiers de Steinhoff mettent en exergue une situation qui n’est pas viable » ajoute le communiqué. Pour la direction, le retour l’équilibre programmé dans les deux ans passe par un redimensionnement préalable du réseau, lourd programme qui va se traduire par la suppression de quelque 1 900 emplois et la fermeture de 32 sites. Six établissements sont concernés en Ile-de-France, dont deux à Paris même (Etoile et Pont-Neuf). Vont également fermer les magasins de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Chelles (Seine-et-Marne), Fleury-Mérogis (Essonne) et Vélizy (Yvelines). En 2018, Conforama a enregistré un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros (hors taxes). Les « mesures fortes et rapides » annoncées par le groupe visent à « assurer la pérennité de l’enseigne et de sauvegarder le plus d’emplois possible sur le long terme ». Si les salariés approuvent sans nul doute cet objectif, les moyens d’y parvenir ont suscité la colère, voire l’incompréhension sur les sites menacés par le plan de restructuration. Des rassemblements spontanés ont eu lieu mardi devant le magasin du Pont-Neuf, pourtant présenté par les dirigeants comme le navire-amiral de la marque en France.

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La capitale française accueille chaque année des millions de visiteurs qui s’y rendent pour vivre une expérience tout à fait inoubliable. Les choses à voir et à faire sur place sont nombreuses. Ce que l’on peut retenir d’un voyage dans la Ville Lumière serait sans doute le fait que c’est une destination à privilégier pour les amateurs de luxe et de mode. Paris est compté parmi les municipalités qui prônent le prestige et le raffinement. Focus sur les points à retenir sur ce sujet. Des monuments prestigieux à découvrir Paris est sans aucun doute l’une des villes les plus incontournables de l’Hexagone. Qui en effet ne veut pas en faire la visite au moins une fois dans sa vie ? Les voyageurs qui se rendent sur place sont originaires des quatre coins de la planète. Les vacanciers sont en premier lieu fascinés par le nombre important des monuments prestigieux qui se trouve dans la capitale française. Ce sont des merveilles qui font de la Ville Lumière un haut lieu de mode et du luxe en raison de leur caractère fastueux. Sur la liste des édifices incontournables, il y a entre autres : le Palais Royal, l’Opéra Garnier, le Musée d’Orsay, le fameux Jardin des Tuileries ou encore le Grand Palais. Tout comme un séjour de luxe à New York, Sydney ou Beijing, une escapade de prestige à Paris ne peut certainement pas se faire sans une visite de ses majestueux monuments. De nombreux endroits chics où faire son shopping Faire des emplettes pour se constituer des objets souvenirs à rapporter de son voyage de luxe à Paris est une activité touristique à part entière. Les vacanciers auront l’embarras du choix certain quant aux articles à acheter, car les produits de luxe, ce n’est vraiment pas ce qui manque dans la capitale de l’Hexagone. Pour ce qui est des endroits chics où faire son shopping durant un périple de prestige à Paris, on peut notamment suggérer : La rue des Archives dans le Marais : de grandes marques de prêt-à-porter, mais également d’accessoires ainsi que de maroquineries ont installé des points de vente qui valent le détour dans cette fameuse rue dans le Marais. La Place Vendôme : qui est réputée pour abriter des établissements hôteliers de standing et surtout des bijouteries de luxe et aussi de boutiques de haute couture. De grandes enseignes sont notamment présentes. Le Boulevard Haussmann est entre autres à privilégier pour un shopping dans les très célèbres Galeries Lafayette et le Printemps Haussmann. Quelques activités de prestige à ne pas rater Outre le fait d’aller explorer les monuments les plus prestigieux parisiens, mais aussi de réaliser des séances shopping dans les endroits les plus célèbres de Paris, d’autres activités sont également à effectuer lors d’une escapade de luxe dans la Ville Lumière. Dans un premier temps, il y a la découverte de l’incontournable gastronomie française. Il s’agit de déguster certains mets les plus raffinés de l’Hexagone. Le tout est présenté dans un cadre à couper le

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