L’Urban Lab de Paris&Co et ses 15 partenaires publics et privés, dont LACROIX City, ont dévoilé les solutions qui seront déployées dans le Quartier d’Innovation Urbaine « Paris Rive Gauche » (13e). Accompagnés pendant 18 mois, ces projets innovants seront testés par les habitants et usagers du quartier. La finalité de la démarche est d’identifier des solutions contribuant à améliorer le cadre de vie des parisiens et à renforcer l’attractivité, la résilience et la sobriété de la ville. Depuis maintenant plus de 10 ans, l’Urban Lab a accompagné plus de 300 projets d’expérimentations en région parisienne avec, en 2018, le 18ème arrondissement et, en 2019, le 19ème. L’idée est de transformer la ville de Paris en véritable laboratoire à ciel ouvert en créant, via des projets pilotes, des synergies entre les acteurs publics et privés. Les Quartier d’Innovation Urbaine expérimentent donc des projets avec l’idée de favoriser une ville plus durable, plus solidaire, plus résiliente et donc plus inclusive pour répondre aux défis environnementaux et sociétaux auxquels la ville doit faire face. Il faut imaginer et fabriquer Paris autrement, que ce soit en termes de construction, de rénovation, de consommation en circuit court, de logistique, de transports, de solidarité ou de transition énergétique. 15 projets lauréats Cette année, les 15 projets lauréats s’illustrent dans 3 nouvelles thématiques : « Produire, consommer et transformer à l’échelle locale », avec 4 projets « Végétaliser et rafraîchir la ville », avec 3 projets « Renforcer l’accessibilité du territoire et ses mobilités », avec 8 projets C’est dans cette dernière thématique que le groupe LACROIX City s’est illustré. Spécialiste des infrastructures de la voirie (cf. feux de chantier), LACROIX City a développé, en partenariat avec Wintics et Mercura, un système technologique, 4SAFEMobilities, capable de fluidifier le trafic de manière intelligente, aux carrefours et aux passages piétons. Ce système (une couche informationnelle du trottoir) s’opère grâce à une hiérarchisation autonome des priorités entre les usagers, les transports en commun ou les véhicules d’urgence. Le projet de gestion de micro-mobilité dynamique et automatisée​ 4SAFEMobilities s’inscrit dans la logique de développement des carrefours intelligents. Le trottoir, un actif public stratégique Autrefois symbole de la ville des infrastructures, le trottoir n’est plus seulement là pour faciliter la vie des piétons. A l’ère de la smart city, il devient un actif stratégique et donc un enjeu à l’ère des nouvelles mobilités urbaines. La nouvelle couche informationnelle évoquée complète les couches physique et servicielle ; elle implique une exploitation des informations à des fins de service aux usagers mais aussi à des fins commerciales. Pour les collectivités locales, le trottoir doit donc être désormais intégré à leur gouvernance de manière à ce que les informations qui transitent soient partagées entre les acteurs privés et publics. Pour certains experts des questions urbaines, le trottoir doit faire partie des « communs » stratégiques pour que justement les objectifs affichés de l’Urban Lab de Paris, à savoir une ville plus durable, plus solidaire, en somme plus démocratique, soient atteints.

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A partir de samedi, les restrictions de déplacement sont durcies dans la capitale. Un nouveau tour de vis, un peu moins serré toutefois qu’il y a un an. Après des semaines d’atermoiements, Paris (avec l’ensemble des départements d’Ile-de-France), rebascule dans un confinement général. Cette mesure, décrétée jeudi soir par le chef de l’exécutif Jean Castex, laisse un goût amer à la population bousculée dans ses habitudes par la crise depuis un an. La pilule est plus difficile encore à avaler pour les commerçants, dont la plupart va devoir se soumettre à de nouvelles obligations de fermetures administratives, comme au printemps et l’automne 2020. Qui ? Comment et surtout pour combien de temps ? Les activités de plein air autorisées La question prend une dimension particulière en Ile-de-France, une région qui concentre un cinquième des français (12 millions). Dans les jours qui ont précédé cette prise de décision, largement arbitrée par l’Elysée, l’objectif recherché par les décideurs nationaux, en lien avec les élus des communes concernées, fut de définir une formule équilibrée mixant une dose de fermeté avec certaines souplesses. Un principe a servi de fil rouge : contrebalancer la dureté d’un confinement permanent (et non simplement le week-end, comme à Nice et Dunkerque) par un maintien des activités de plein air, réputées moins propices à la circulation du virus que les regroupements en espaces clos. Voilà le cadre réglementaire auquel les parisiens vont devoir s’astreindre à partir de ce samedi, et pour une période de quatre semaines au moins :Les attestations de déplacements sont de retour. Mais elles s’appliqueront surtout sur les véhicules qui circuleront de régions à régions. Dans les faits, ces trajets sont interdits, « sauf motifs impérieux et professionnels » a souligné Matignon. Localement, rien n’empêche la population de partir en promenade ou de pratiquer une activité physique, sans limitation de durée. Cette tolérance n’est toutefois valable que dans un rayon de dix kilomètres autour du domicile. Gros changement par rapport premier confinement : écoles, collèges et lycées vont rester ouverts. La continuité du service scolaire est donc assurée, sans autres réserves que celle d’appliquer strictement les consignes sanitaires de rigueur depuis plusieurs mois : les lycées de la Région qui, jusqu’ici, fonctionnaient en demi-jauge, basculeront dans un système à 100%. Concernant l’activité économique de proximité, le gouvernement opère un glissement sémantique qui le conduit à abandonner la notion de « commerce essentiel », source de polémique à l’automne dernier, au profit de produits de « première nécessité ». Seules les enseignes incluses dans cette catégories (distributeurs alimentaires, pharmacie, buralistes) sont autorisées à accueillir du public. Les librairies et les disquaires sont concernés par ces ouvertures. Enfin, les entreprises sont invitées à renforcer le télétravail pour leurs salariés.

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Bien qu’encore peu répandue, une prise de conscience écologique semble avoir lieu dans le domaine du funéraire. Si la crémation et l’inhumation restent les pratiques les plus courantes lorsqu’un décès survient, de nouveaux modèles commencent à émerger partout dans le monde. Ces alternatives écologiques pourraient venir au fil des années remplacer l’inhumation et la crémation, jugées trop polluantes pour la planète. Zoom sur les nouvelles tendances écolos du marché funéraire ! L’inhumation et la crémation  En France, deux pratiques se distinguent particulièrement lorsqu’un décès survient : L’inhumation : il s’agit d’une pratique traditionnelle qui consiste à inhumer ou mettre en terre le défunt dans un cimetière. Elle doit être réalisée dans un délai maximum de 6 jours après le décès du défunt, sauf exceptions. Cependant, l’inhumation est source de pollution. En effet, afin de conserver le corps avant l’enterrement, des litres de produits lui sont injectés. Au moment de la décomposition, ceux-ci s’infiltrent dans le sol et polluent. La crémation : il s’agit d’une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps d’une personne décédée dans un crématorium. Elle est réalisée, comme pour l’inhumation, 6 jours au plus après le décès du défunt. Bien que moins polluante que l’inhumation, cette pratique n’est pas très écologique. En effet, ce processus qui dure 1h30 nécessite 42m3 de gaz naturel, provoquant d’importants rejets de CO2. Malgré le fait que ces pratiques dominent le marché, la tendance tend vers des funérailles de plus en plus écologiques. De nombreux nouveaux modèles émergent partout dans le monde afin de réduire l’impact environnemental lié aux funérailles. Les cercueils en carton Chaque année, près de 11 millions d’arbres sains sont coupés (soient 30 000 km² de forêt) pour produire des cercueils en bois. Certains acteurs cherchent des solutions pour réduire l’impact environnemental du cercueil. C’est notamment le cas de la Coopérative de pompes funèbres nantaise, qui propose de nombreuses innovations à ses clients. Afin de réduire l’impact environnemental d’un enterrement, cette Coopérative commercialise des cercueils en carton. Ces derniers sont composés de fibres de papier vierge et de fibres recyclées et sont vendues avec ou sans impression. En plus d’être écologiques pour la planète, ils sont également moins chers. En effet, les cercueils en cartons coûtent en général entre 300 et 1 100 €, là ou un cercueil en bois peut coûter jusqu’à 3 000 €. L’humusation  L’humusation consiste à transformer le corps des défunts dans un compost composé de broyats de bois d’élagage, grâce à l’action des micro-organismes. Ce procédé uniquement autorisé à Washington se déroule en 4 étapes : Le défunt est amené dans un cercueil réutilisable enveloppé par un linceul biodégradable, sans avoir subi de soins de conservation. Le corps est ensuite placé sur des copeaux de bois et d’argile, gorgés d’eau de pluie. Au bout de 3 mois, les os commencent à disparaître et se détachent les uns des autres, notamment grâce à l’effet de la chaleur comprise entre 60 et 70 °. Enfin, après 1 an, le corps est entièrement décomposé et transformé en 1,5

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Une enquête menée par la Chambre de Commerce et d’Industrie Paris Ile-de-France donne la mesure de la crise sanitaire qui frappe la région depuis plus d’un mois. 2 000 entreprises ont été sondées le 30 mars dernier par la CCI Paris Ile-de-France afin de cerner l’impact du confinement sur les forces vives de l’économie locale. Les résultats tirés de cet échantillon représentatif (toutes tailles, de 0 à 250 salariés, et tous secteurs) au cours de la première phase de la crise déclenchée par la pandémie de Covid-19 sont sans équivoque. Ils confirment aussi que les décrets de fermeture obligatoire portant, dès le 15 mars, sur les bars et les restaurants ont pesé lourd dans la balance : 87% des commerces de proximité ont dû stopper leur activité, sinon totalement, du moins partiellement. Au-delà de ce secteur très touché, 8 dirigeants d’entreprise sur 10 indiquent avoir subi une perte de chiffre d’affaires directement imputée au ralentissement économique consécutif à la situation sanitaire. D’après les données recueillies par étude, les difficultés de trésorerie concernent un peu plus d’un tiers (35%) des acteurs interrogés et 27% d’entre eux disent avoir été confrontés à des « ruptures d’approvisionnement ». Mécaniquement, cette situation a engendré des baisses d’effectif dans les entreprises, soit qu’elles ont eu recours au chômage partiel, soit qu’elles ont accepté des congés maladies exceptionnels (pour garde d’enfants notamment) ou ont fait face à des droits de retraits de la part de salariés qui se sentaient insuffisamment protégés dans l’exercice de leurs fonctions. Les « arrêts » de travail ont surtout été motivés pour des raisons familiales et justifiés par la nécessité de s’occuper des enfants ou de personnes fragiles. D’autres, moins nombreux, sont liées à des problèmes de santé (Covid-19 ou autres). Montée en puissance du télétravail 71% des entreprises ont eu recours au chômage technique, signale la Chambre de Commerce et d’Industrie. Ce dispositif, assoupli par l’Etat dès le début de la crise, donne lieu à une prise en charge publique des salaires, jusqu’à 84% de leur montant brut. Toutefois, une part importante des sondés (56%) affirment rencontrer des difficultés à « mettre en place le chômage partiel » au sein de leur établissement. L’étude ajoute que la moitié des entreprises franciliennes ont sollicité auprès de l’administration un décalage de leurs cotisations sociales et/ou de leurs échéances fiscales. Les entreprises ont également recouru en masse au télétravail : une sur deux compte au moins un salarié à domicile, et plus de 20% ont mis en place cette formule à distance pour la totalité de leur personnel. Néanmoins, 56% des entreprises interrogées rencontrent des difficultés pour mettre en place le chômage partiel dans leurs structures.

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Vous souhaitez vous lancer dans le transport routier de marchandises ? Dans ce cas, vous avez besoin d’obtenir une capacité de transport. Il s’agit d’un document indispensable pour d’exercer dans ce domaine. Pour l’obtenir, vous avez généralement trois options : suivre une formation et passer un examen, faire valider votre expérience professionnelle ou encore obtenir une équivalence de diplôme. Une fois l’une de ces conditions remplies, vous enverrez une demande d’attestation de la capacité professionnelle. Lorsque cette dernière sera validée, vous pourrez enfin créer votre entreprise de transport. Quels sont les types de capacités de transport de marchandises ? Il existe notamment deux sortes de capacité de transport de marchandises: la légère et la lourde. La différence s’opère au niveau du poids maximum autorisé ou le PMA des véhicules que vous utiliserez pour exercer. La capacité professionnelle de transport léger de marchandises vous permet d’utiliser uniquement des camions ayant un PMA qui ne dépasse pas les 3,5 tonnes. Généralement, cette capacité s’obtient suite à un examen, après avoir obligatoirement suivi une formation. En ce qui concerne la capacité de transport lourd de marchandises, ce document vous est nécessaire si vous employez des véhicules d’un PMA supérieur à 3,5 tonnes. À noter que cette capacité vous permet également d’exercer dans le transport léger et elle s’obtient aussi par voie d’examen. Comment obtenir la capacité de transport léger de marchandises ? Ce premier type de capacité de transport de marchandises, peut notamment s’obtenir grâce à : Un examen écrit, qui se déroule après une formation dans un organisme agréé. Cette formation dure généralement 105 heures. Si vous réussissez à l’examen, votre attestation de capacité professionnelle sera délivrée par le préfet de votre région ; Une attestation d’expérience professionnelle, le cas où vous auriez déjà géré une entreprise de transport de marchandises. Votre capacité sera validée à condition que votre présumée activité n’ait pas cessé depuis plus de 10 ans ; Une équivalence de diplômes, car certains de ces derniers vous permettent d’obtenir une attestation de capacité professionnelle de transport. Il est à noter que la liste de ces diplômes est fixée par arrêté. N’hésitez donc pas à vous renseigner auprès de la DREAL de votre région. Votre demande devra également s’effectuera auprès de celle-ci, en lui fournissant les justificatifs nécessaires. Comment obtenir la capacité de transport lourd de marchandises ? Quasiment similaire aux options pour obtenir la capacité de transport léger, cette seconde sorte de capacité de transport de marchandises, vous offre également trois voies d’accès : L’examen écrit, qui est une évaluation annuelle et nationale. C’est la DREAL de votre département qui s’occupera de la gestion de votre inscription et du déroulement de l’examen. Pour vous inscrire, vous aurez à compléter un formulaire, tout en sachant que les inscriptions sont généralement ouvertes jusqu’en fin du mois de juillet de chaque année. Tandis que l’examen se déroule souvent au début du mois d’octobre. Si vous réussissez à l’examen, votre attestation de capacité professionnelle sera délivrée par le préfet de votre région ;

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L’Assemblée nationale devait se prononcer sur l’article 49 de la loi Pacte* qui supprime l’obligation de maintenir la majorité du capital du groupe dans le giron de l’Etat. Engagé depuis plusieurs mois, le projet de privatisation d’ADP vient de passer une étape législative décisive : jeudi, les députés ont adopté, en seconde lecture (par 42 voix, contre 17 contre), l’article 49 de la Loi Pacte qui autorise l’Etat à se désengager du capital de l’entreprise, gestionnaire des principaux sites aéroportuaires d’Ile de France, dont Orly, Roissy Charles-de Gaulle et Le Bourget. Ce vote n’est pas une surprise : le texte avait déjà été approuvé une première fois par l’Assemblée en octobre 2018, la contestation parlementaire la plus vive s’étant manifestée sur les bancs du Sénat qui l’avait rejeté en février dernier, au motif que la cession du groupe à des opérateurs privés contrevenait à des enjeux de souveraineté et de sécurité nationales, autant qu’il représentait un non-sens économique. Ces arguments sont aujourd’hui martelés par les oppositions politiques de tous bords : en chœur, les représentants communistes et LFI (La France Insoumise) suspectent le gouvernement de vouloir faire un « cadeau à Vinci » (actionnaire majoritaire d’ADP et candidat à la reprise du capital) en guise de réparation après l’abandon du chantier de l’aéroport à Notre-Dame des-Landes dont il devait être l’exploitant. Un front auquel se sont joints des députés socialistes dans un projet commun visant à dénoncer la mesure devant le conseil constitutionnel, qu’ils ont annoncé vouloir saisir. 170 millions d’euros de bénéfice Bruno Retailleau, chef de file des Républicains au Sénat, pointe une « erreur stratégique » semblable à celle qui avait amené le gouvernement de Dominique de Villepin à vendre le secteur autoroutier à Vinci entre 2005 et 2007 : « les principes libéraux nous apprennent qu’il ne faut jamais céder un monopole » car ce type d’opération « aboutit toujours à privilégier de façon démesurée des intérêts privés ». Dans un registre plus sécuritaire, l’ancien président du conseil des Pays de la Loire juge que c’est « une faute de privatiser les aéroports qui abritent nos frontières ». La privatisation d’ADP se traduira par une concession de 70 ans au profit du futur propriétaire. Une opération que le ministre de l’Economie Bruno Le Maire estime nécessaire « pour garantir le développement de ce fleuron économique ». Rappelons que le groupe, détenu à 50,6% par l’Etat a dégagé quelque 170 millions d’euros de dividendes en 2018. Une partie de ces gains seront reversée au sein d’un fonds destiné à financer l’innovation. Quant au montant de la vente des participations publiques, il devrait se chiffrer aux alentours de 10 milliards d’euros. Mardi dernier, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux défendait le projet sur les ondes de la radio France Inter. Et d’argumenter que « le rôle de l’Etat c’est de s’occuper de l’éducation, de la recherche, de la santé, de la justice, de la sécurité, et donc il faut aussi savoir dire qu’il y a certaines activités qui doivent

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L’un des meilleurs moyens pour faire développer vos activités et augmenter votre chiffre d’affaires est de fidéliser vos clients avant de penser à en acquérir de nouveaux. Il est donc primordial d’adopter les bonnes stratégies pour atteindre vos objectifs. Démarrez la nouvelle année en suivant ces quelques conseils. Surprendre vos clients et prospects avec des cadeaux comme les clés USB carte Il est essentiel pour une entreprise d’entretenir une relation privilégiée avec sa clientèle afin de la fidéliser. Témoignez alors votre reconnaissance et votre considération envers vos clients puis séduisez vos prospects en leur offrant des cadeaux originaux, pratiques et personnalisés comme les clés USB carte. Ce type de cadeau peut être considéré comme un outil marketing parce qu’il offre une bonne visibilité à votre entreprise grâce à l’inscription de votre logo et de votre nom sur l’objet. Vous pouvez intégrer une plaquette commerciale en vidéo ou en diaporama à l’intérieur de la clé USB pour faire connaître vos activités ou promouvoir vos produits. Sachez que la clé USB personnalisée restera un cadeau utile au quotidien pour vos clients et prospects puisqu’elle permet de stocker et de classer un nombre important de fichiers. Vous pouvez également établir une connexion durable avec vos clients en leur envoyant des notes ou des cartes de remerciement écrites à la main et personnalisées à la place des cadeaux. Interagir avec vos clients et prospects en utilisant ces simples canaux de communication permet de déclencher chez eux des décisions d’achat émotionnelles. Autres plans d’action marketing pour attirer les clients Il est important pour une entreprise de mettre en place un plan d’action marketing efficace qui lui permettra de rester connectée avec ses clients, de les fidéliser et d’en séduire de nouveaux. Pour y arriver, il est conseillé de valoriser et promouvoir vos nouvelles offres de façon courte et pertinente. Autrement dit, vous devez trouver un moyen de convaincre vos clients et prospects d’acheter vos produits dans un délai relativement court. Pour cela, vous pouvez créer un flyer qui vous permettra de résumer vos activités et proposer vos offres sur une petite surface recto verso. Avec son petit format, un flyer sera vite lu et compris. Par ailleurs, vous pouvez aussi utiliser l’email marketing ou l’infolettre qui sont des supports publicitaires à faible coût et faciles à mettre en place pour faire connaître vos nouveautés ou les promotions du mois. Vous pouvez aussi élaborer un programme de fidélité. Pour ce faire, proposez à vos clients des remises intéressantes grâce à un système de cumul de points. Vous pouvez aussi proposer aux clients satisfaits de vous recommander auprès leurs proches et connaissances. En retour, vous les récompenserez en leur offrant des remises ou des cadeaux.

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Depuis l’avènement d’internet, les clients ont bien changé leurs habitudes. Aujourd’hui, lorsqu’il s’agit de chercher des informations, de réserver des vols ou des hôtels…, sans surprise, les consommateurs se tournent volontiers vers la toile. D’après une étude de la DGCCRF, près de 93 % des Européens plébiscitent le web pour rechercher une offre d’hébergement, mais surtout pour réserver leurs nuitées. Il est donc important pour les hôtels de suivre cette tendance et de créer un site web visible sur les moteurs de recherche. Réserver son hôtel en ligne : quels sont les avantages ? Que ce soit pour un voyage à Paris, un séjour à l’île Maurice, ou pour une lune de miel en Thaïlande, les voyageurs ont tendance à aller sur le web pour chercher les meilleures offres et passer leur réservation d’hôtel. Cela peut être pour différentes raisons : Éviter les mauvaises surprises Il est indispensable d’organiser un voyage bien à l’avance sous peine de gâcher ce moment tant attendu, et ce à commencer par la réservation d’hébergement. Attendre d’arriver à destination dans le but de réserver son hôtel peut être risqué, surtout si l’on part en haute saison touristique. Mieux vaut alors s’y prendre quelques jours, semaines ou mois avant le départ. Que ce soit sur le site officiel de l’établissement ou via une plateforme d’agences de voyages, Internet s’avère être la meilleure solution pour cela. Trouver de meilleures offres Il est à noter que les offres d’hébergements proposés sur la toile sont largement plus diversifiées par rapport à ceux que l’on trouve auprès des agences de voyages classiques. Les catalogues en ligne sont plus étoffés. Les voyageurs auront donc davantage de chance de trouver une meilleure offre adaptée à leurs besoins et à leur budget. Pour se faciliter la vie Grâce à internet, les clients n’ont plus besoin de se déplacer dans une agence de voyages traditionnelle afin de trouver un hébergement et passer une réservation. Désormais, ils peuvent effectuer leur réservation d’hôtel depuis leur smartphone ou PC, sans avoir besoin de bouger de leur canapé. Réserver en ligne permet donc de gagner du temps, en plus d’être pratique. Dégoter une offre moins chère L’une des premières raisons qui poussent les clients à passer leur réservation en ligne reste de loin les prix qui sont plus avantageux par rapport à ceux proposés par les agences de voyages classiques. De plus, il est tout à fait possible de comparer plusieurs offres en ligne. Les clients auront donc plus de chance de trouver un hôtel à prix résolument abordable. Certains sites en ligne proposent même des promotions toute l’année, simplement pour attirer les clients. Réserver un hôtel sur le web : sur quelle plateforme se tourner ? Internet héberge aujourd’hui pas moins d’une centaine de plateformes spécialement dédiées à la réservation d’hôtel. Grâce à cela, les vacanciers peuvent réserver leur hôtel plus facilement en ligne, voire même comparer plusieurs offres. De nombreuses possibilités s’offrent à eux, parmi elles on peut citer : le site officiel de l’hôtel, le

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Les organisateurs du salon « Santé pour tous » vous invitent à participer à des évènements dédiés au maintien à domicile entre 9 et 11 mars 2018. Vous pouvez participer à des débats interactifs avec des professionnels de la santé et des intervenants indépendants afin de vous renseigner sur les services à la personne créés exclusivement pour les seniors. Un nouveau salon dédié aux acteurs de la santé et aux seniors sera organisé au début du mois de mars à Paris. Les exposants se proposent d’informer le grand public sur les services à domicile pris en charge par les intervenants et les assistants de vie, la thématique de l’espérance de vie et d’autres sujets sur l’accompagnement des personnes âgées et en situation de fragilité. Des solutions pour préserver son autonomie Afin de simplifier leur vie, les seniors en perte d’autonomie ont aujourd’hui la possibilité d’employer des intervenants à domicile diplômés et qualifiés. Compte tenu des particularités de chaque situation, ces professionnels peuvent prendre en charge diverses tâches de la vie quotidienne, y compris la lessive et la préparation des repas. Pour promouvoir les services à domicile dans la métropole parisienne, les organisateurs du salon « Santé pour tous » vous invitent à participer du 9 au 11 mars 2018 à des conférences, réunions et ateliers qui auront lieu dans le Hall A de l’Espace Champerret. En participant à ces évènements, vous pouvez mieux vous renseigner sur les services à la personne proposés par les agences, ainsi que sur les divers dispositifs dédiés aux seniors qui rencontrent des difficultés à employer des assistants de vie. Des débats interactifs, des conférences et des tables rondes Les visiteurs qui se rendent au salon « Santé pour tous » seront invités à échanger directement avec les exposants, les intervenants, les assistants de vie et les autres spécialistes du secteur des services à la personne. Ils ont ainsi la possibilité de trouver plus facilement des professionnels fiables qui possèdent les connaissances et les compétences nécessaires pour prendre en charge l’accompagnement des seniors aux sorties extérieures. Les visiteurs peuvent participer à des ateliers pratiques gratuits afin de découvrir certaines thématiques essentielles à la santé des personnes âgées. Les spécialistes de l’agence Générale des Services de Chartres vous proposent des prestations à domicile sur mesure du plus haut standard. En fonction de vos besoins, les intervenants de l’agence peuvent préparer vos repas, faire les courses, voire vous accompagner dans vos visites chez les médecins traitants.

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Le Rhône-Alpes-Auvergne et l’Ile-de-France font partie des principales régions où les taux de prêt ont subi les plus grands changements depuis la fin de l’année dernière. Si vous envisagez d’acheter un appartement à Angers où à Nantes, il est important de travailler avec un courtier immobilier, qui peut vous donner des conseils personnalisés. Les experts en immobilier ont constaté que depuis la fin de l’année dernière les barèmes bancaires sont à la hausse. Dans le cas de 34 banques régionales, ces augmentations fluctuent entre 2 et 38 centimes. Si vous voulez acheter une habitation cette année, les professionnels vous recommandent de calculer votre taux d’endettement en tenant compte de deux critères essentiels, à savoir vos revenus et vos charges. Evolution des taux en 2017 Selon les statistiques récentes, Ile-de-France et Rhône-Alpes-Auvergne sont les régions où les taux ont subi des changements importants ces derniers mois. Ces tendances concernent également les grandes villes du Grand Ouest et du Sud-Ouest. Les statistiques qui prouvent cette tendance à la hausse ne proviennent pas uniquement des banques régionales, mais également des banques nationales. Si vous n’avez pas d’expérience dans la négociation de votre crédit immobilier, des professionnels pourraient vous donner des conseils en tenant compte des particularités de votre dossier. Quelles sont les facteurs de ces augmentations ? Les spécialistes considèrent que les banques se voient dans l’obligation d’accroître leurs marges en raison du contexte macro-économique et règlementaire actuel. Aujourd’hui, les taux minimaux sont en général attractifs. Les porteurs de projets immobiliers, y compris les emprunteurs ayant les meilleurs profils, pensent toutefois que les possibilités de négocier leur crédit sont plutôt limitées. Par conséquent, de nombreux emprunteurs décident de travailler avec des experts, notamment avec des courtiers immobiliers. Ces derniers possèdent les compétences nécessaires pour vous accompagner dans la négociation de votre crédit. Les spécialistes de Prêt Partners vous donnent des conseils sur mesure pour que vous puissiez réaliser votre projet tout en respectant les lois en vigueur. Depuis 2006, ils ont accompagné de nombreux particuliers dans les démarches nécessaires au financement de leurs projets. Leurs bureaux se trouvent dans plusieurs villes du Grand Ouest, y compris à Nantes et à Angers. Vous pouvez prendre contact avec eux directement depuis leur site Internet.

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