Le PSG dans le carré d’as des clubs les plus riches

Le club phare de la capitale se rapproche du podium occupé par le Real de Madrid, le FC Barcelone et Manchester United.

Le PSG est une affaire qui rapporte de plus en plus malgré l’absence de résultats sportifs significatifs au niveau européenn : depuis la prise de contrôle opéré en 2011 par un fonds d’investissement qatari détenu par le souverain Tamim ben Hamad Al Thani, le club se rapproche, saisons après saisons, de ses homologues européens les plus huppés. D’après un dernier bilan réalisé par le cabinet Deloitte, Paris est désormais quatrième devant la Real Madrid et ses 577 millions d’euros de revenus, le FC Barcelone (560 millions) et manchester United (519 millions). Un fossé sépare encore ce trio magique du PSG qui, selon Deloitte, s’est assis, à l’issue de l’exercice 2014-2015, sur un matelas de 480,8 millions d’euros, un revenu qui le place désormais devant le champion allemand Bayen Munich (474 millions).

Cette progression s’explique essentiellement par la hausse des revenus commerciaux (297 millions) du club présidé par Nasser Al-Khelafi, un part qui représente à elle seule 62% du revenu total engrangé par le PSG. Deloitte affirme que les recettes de la billeterie ont progressé de +22% l’an dernier, les droits TV versés au club parisien, de +27% grâce notamment à une notoriété en hausse et un parcours correct en Ligue des Champions (quart de finale). Dans cette dernière catégorie, le PSG, classé seulement 13ème sur 20,  n’arrive pas à la cheville de ses principaux concurrents.

Si 17 clubs de la Première League anglaise figurent dans la top 30, la représentativité tricolore se réduit à celle du PSG. selon un analystre de Deloitte, aucun club de la Ligue 1 française « ne semble en position de postuler pour une place dans le Top 30 dans un proche avenir, malgré les importants investissements réalisés pour moderniser les stades en vue de l’Euro 2016 ».

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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