Le Stade Français contraint d’ouvrir son capital

Le club de rugby parisien présidé par Max Guazzini ouvre son capital, besoin urgent d’argent oblige.

C’est l’histoire du Stade de Reims qui influe le Stade Français. Ou plutôt d’une décision de justice favorable au club de foot rémois, qui agit sur les actes du club de rugby parisien. Point commun entre les deux Stade ? Sportys, une régie publicitaire en grandes difficultés financières.

Celle-ci devait 1,4 million d’euros à l’entité rémoise, et la justice a tranché en faveur des « footeux ». Chez les rugymen parisiens, le manque à gagner serait encore plus important, d’où une ouverture de capital pour recadrer le budget. Le besoin d’argent est urgent. Fn avril 2011, tout devra être transparent eu égard à la DNACG, gendarme financier de la LNR (Ligue Nationale de Rugby).

Le décalage entre le budget prévisionnel et le budget réalisé existe, Sportys dans le viseur. La saison dernière, déjà, ce décalage existait, pour d’autres raisons. Mais il n’y aura peut-être pas un don exceptionnel d’actionnaire tous les ans… Des banques sont donc mandatées pour trouver des fonds, et attirer un/des repreneur(s), éventuellement majoritaire(s), si le président Max Guazzini cédait 51 de ses 67%. Affaire à suivre (source : L’Equipe).

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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