Les entreprises et les organisations ont de plus en plus soucieux concernant la santé et de sécurité au travail. La prévention des risques professionnels est une préoccupation majeure pour les employeurs et les employés. La vigilance partagée est un concept important pour assurer la sécurité et la santé au travail. Il s’agit de la capacité des travailleurs à collaborer pour détecter, évaluer et résoudre les problèmes de sécurité en temps réel. Dans un contexte où les accidents du travail et les maladies professionnelles sont encore trop fréquents, la vigilance partagée est essentielle pour prévenir les risques et améliorer les conditions de travail. Cependant, la mise en place de la vigilance partagée est parfois un défi, surtout dans des environnements de travail complexes et dangereux. C’est là que la formation en réalité virtuelle joue un rôle clé. En simulant des scénarios de travail réalistes et en permettant aux travailleurs de s’entraîner à collaborer pour résoudre des problèmes de sécurité, la formation en réalité virtuelle contribue à renforcer la vigilance partagée et à réduire les risques sur le lieu de travail. Qu’est-ce qu’une vigilance partagée ?  La vigilance partagée est une notion qui désigne la capacité des individus à collaborer de manières coordonnées et en communiquant de façon claire pour détecter et prévenir les risques professionnels. Cette notion est habituellement utilisée dans le domaine de la sécurité et de la santé au travail, notamment dans les situations où les travailleurs sont confrontés à des risques élevés ou à des tâches complexes qui nécessitent une attention constante. Concrètement, la vigilance partagée implique que chaque membre d’une équipe soit attentif aux signaux de danger et capable d’alerter ses collègues en cas de besoin. Cela est mis en place à travers des formations, des consignes de sécurité claires et des procédures de travail adaptées. La vigilance partagée est donc un élément clé de la prévention des accidents du travail et de la promotion d’un environnement de travail sûr et sain. Pour plus d’informations, suivre ce lien. Qu’est-ce qu’une formation en réalité virtuelle ? La formation en réalité virtuelle est un type de formation qui utilise la technologie de la réalité virtuelle pour simuler des situations de formation réalistes et immersives. Elle permet aux participants de s’immerger dans un environnement 3D simulé qui reproduit fidèlement les conditions de travail réelles ou potentielles. Les participants peuvent s’exercer à des tâches ou à des scénarios spécifiques dans des conditions sûres et contrôlées, sans risque pour eux-mêmes ou pour leur environnement. La formation en réalité virtuelle est utilisée dans divers secteurs, tels que la sécurité, la santé, l’industrie, l’armée ou les transports, pour former les travailleurs à des situations potentiellement dangereuses ou complexes. Les étapes pour mettre en place une formation en réalité virtuelle La mise en place d’une formation en réalité virtuelle dans une entreprise nécessite de suivre plusieurs étapes. Dans un premier temps, il est essentiel de réaliser une évaluation des besoins en formation afin de déterminer les compétences à acquérir et les situations professionnelles à simuler. Cette étape permet de définir les objectifs de la formation et les scénarios pédagogiques à mettre en œuvre. Ensuite, vous

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L’Urban Lab de Paris&Co et ses 15 partenaires publics et privés, dont LACROIX City, ont dévoilé les solutions qui seront déployées dans le Quartier d’Innovation Urbaine « Paris Rive Gauche » (13e). Accompagnés pendant 18 mois, ces projets innovants seront testés par les habitants et usagers du quartier. La finalité de la démarche est d’identifier des solutions contribuant à améliorer le cadre de vie des parisiens et à renforcer l’attractivité, la résilience et la sobriété de la ville. Depuis maintenant plus de 10 ans, l’Urban Lab a accompagné plus de 300 projets d’expérimentations en région parisienne avec, en 2018, le 18ème arrondissement et, en 2019, le 19ème. L’idée est de transformer la ville de Paris en véritable laboratoire à ciel ouvert en créant, via des projets pilotes, des synergies entre les acteurs publics et privés. Les Quartier d’Innovation Urbaine expérimentent donc des projets avec l’idée de favoriser une ville plus durable, plus solidaire, plus résiliente et donc plus inclusive pour répondre aux défis environnementaux et sociétaux auxquels la ville doit faire face. Il faut imaginer et fabriquer Paris autrement, que ce soit en termes de construction, de rénovation, de consommation en circuit court, de logistique, de transports, de solidarité ou de transition énergétique. 15 projets lauréats Cette année, les 15 projets lauréats s’illustrent dans 3 nouvelles thématiques : « Produire, consommer et transformer à l’échelle locale », avec 4 projets « Végétaliser et rafraîchir la ville », avec 3 projets « Renforcer l’accessibilité du territoire et ses mobilités », avec 8 projets C’est dans cette dernière thématique que le groupe LACROIX City s’est illustré. Spécialiste des infrastructures de la voirie (cf. feux de chantier), LACROIX City a développé, en partenariat avec Wintics et Mercura, un système technologique, 4SAFEMobilities, capable de fluidifier le trafic de manière intelligente, aux carrefours et aux passages piétons. Ce système (une couche informationnelle du trottoir) s’opère grâce à une hiérarchisation autonome des priorités entre les usagers, les transports en commun ou les véhicules d’urgence. Le projet de gestion de micro-mobilité dynamique et automatisée​ 4SAFEMobilities s’inscrit dans la logique de développement des carrefours intelligents. Le trottoir, un actif public stratégique Autrefois symbole de la ville des infrastructures, le trottoir n’est plus seulement là pour faciliter la vie des piétons. A l’ère de la smart city, il devient un actif stratégique et donc un enjeu à l’ère des nouvelles mobilités urbaines. La nouvelle couche informationnelle évoquée complète les couches physique et servicielle ; elle implique une exploitation des informations à des fins de service aux usagers mais aussi à des fins commerciales. Pour les collectivités locales, le trottoir doit donc être désormais intégré à leur gouvernance de manière à ce que les informations qui transitent soient partagées entre les acteurs privés et publics. Pour certains experts des questions urbaines, le trottoir doit faire partie des « communs » stratégiques pour que justement les objectifs affichés de l’Urban Lab de Paris, à savoir une ville plus durable, plus solidaire, en somme plus démocratique, soient atteints.

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Récurrentes depuis de nombreuses années, les augmentations de tarifs dans les transports parisiens restent plus que jamais d’actualité. Les parisiens s’y résignent chaque année : il leur faut débourser toujours plus pour circuler en train ou RER. Depuis 2014, le ticket de métro a progressé de 20 centimes, et le prix du carnet de dix a pris 14% d’augmentatio en cinq ans, soit près de deux euros. Le Passe Navigo est au même régime : son tarif unique de 70 euros mis en place en septembre 2015 (forfait mois), n’avait pas fait long feu. Dès août 2016, la nouvelle majorité du Conseil régional d’Ile-de-France l’avait porté à 73 euros. Et la tendance ne risque pas de s’inverser : mardi, lors d’une table ronde avec les principaux donneurs d’ordres, le Syndicat des Transports d’Ile-de-France (Stif) a déjà acté le principe d’une hausse prochaine, nécessaire selon lui au financement du futur Grand Paris Express, immense projet de réseau de quatre lignes de métro automatique autour de la capitale programmé en 2023. Un chantier qui devrait coûter « 1 milliard d’euros par a au Stif » estime Valérie Pécresse. Améliorer la qualité de service La président de la Région (Les Républicains) invoque à plus court terme la rénovation du matériel roulant, soit 707 rames de trains ou RER d’ici 2021, la mise en service d’une nouvelle flotte de 1 000 bus, le renforcement de la sécurité dans les stations et les transports et les investissements dans des services innovants inscrits dans le programme Smart City (titre de transports dématérialisés, déploiement de la wifi et de la technologie 4G…) « Il faut réfléchir comment on finance sur le long terme, et comment on arrive à une tarification la plus juste possible » a souligné la présidente d’Ile de-France avant d’annoncer la création d’un comité sur l’amélioration de la qualité de service, présidé par l’ancien président de la RATP Jean-Paul Bailly.

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